Comment développer son leadership et devenir un leader au fort pouvoir d’influence?
Il vous est arrivé sûrement une fois dans la vie de ne pas se sentir écouter; de ne pas avoir envie de s’exprimer par peur d’être marginalisés.
Vous avez certainement vécu la situation dans laquelle vous vous êtes sentis inférieur à une personne quelconque par le degré du charisme qu’elle incarne. Alors cet article est fait pour vous.
Il convient de noter que; l’environnement dans lequel nous évoluons met en cause certains types de leadership qui ont été pratiqués pendant longtemps.
Ceux qualifiés d’institutionnels dans lesquels on pouvait se cacher dernière le statut, le diplôme pour imposer son pouvoir ne marchent pas forcément. La cause, la nouvelle génération dispose maintenant, presque le même niveau d’information que ceux qui prétendent les diriger et cela se remarque lors des cours dans les classes à titre d’exemple.
La catégorie de leadership qualifiée d’organique prouvée par la façon d’être et le talent est celle qui apporte ses bénéfices pour ceux qui savent la mettre en oeuvre.
A la question de comment développer son leadership et améliorer son pouvoir d’influence; nous chercherons dans cet article à vous aider à mettre en pratique le type de leadership organique afin d’atteindre rapidement votre niveau de performance.
Pour tirer profit de ce type de leadership et asseoir sa légitimité d’une manière douce, voici les éléments à prendre en compte non pas à appliquer un à un mais à vous en servir de façon simultanée:
1Apprendre à se connaitre
Un certain adage souligne que: « tout ce qui se mesure, s’améliore ». Vous comprenez dès lors que; votre degré d’amélioration dépend de votre niveau de connaissance de soi. Même dans une entreprise en difficulté; on commence d’abord par un diagnostic de la situation actuelle afin de détecter les axes d’amélioration à prendre en compte.
Vous devez chercher à vous imposer ce type de diagnostic en commençant par une auto-critique en vous servant de ces 4 niveaux de pourquoi:
- Pourquoi je suis trop perturbé quant il s’agit de prendre la responsabilité; est-ce la peur de l’échec?
- Pourquoi j’ai du mal a communiqué efficacement avec mes collaborateurs?
- Pourquoi mes émotions me dominent s’y facilement et comment les contrôler?
- Pourquoi me sent-il trop inférieur dans la proposition de mes idées dans un groupe de travail?
Il s’agit d’un entrainement à faire au quotidien et d’apporter des réponses objectives à ces questions pour vous aider à détecter les causes de vos agissements. Pas pour pleurer, mais pour agir sur vos faiblesses et les transformer en forces.
Vidéo de leadership pour améliorer son niveau d’influence
2Ne jamais abandonner un individu à son sort
Le grand conférencier Américain JIM ROHN disait ceci: « si vous aidez suffisamment de personnes à régler leurs problèmes, vos problèmes disparaîtront; c’est ainsi que l’on devient grand« . Le leadership est une chose qui se cultive par notre manière d’être avec les autres. Souvenez vous que les gens ordinaires ne s’intéressent qu’à eux mêmes. Les aider davantage sur cette voie est la meilleure façon de devenir intéressant et susciter de l’enthousiasme aux alentours de vous.
Quel que soit l’exemple du leader connu que vous prenez, vous trouverez qu’il n’a pas cherché à être intéressant. NELSON MANDELA, il a cherché à sauver tout un peuple de la situation d’apartheid; Martin Luther King, il luttait pour sortir les noirs marginalisés de leur état et la liste continu.
3Développer une culture de projet
Dans la culture de projet, les esprits restent tendus vers l’intérêt général. Toutefois; la réalisation de la mission d’ensemble reste subdiviser en modules plus propices à la mobilisation des talents en même temps qu’à l’analyse des modes opératoires les plus pertinents. Être leader ne signifie pas de mener toutes les missions en sa charge seul; il vous faut des suiveurs.
En agissant ainsi, chaque acteur perçoit mieux la part de responsabilité qui lui revient dans l’oeuvre collective et se voit offrir l’opportunité de l’assumer de façon active. L’objectif reste d’offrir à ses collaborateurs des espaces indispensables à l’expression de leurs capacités.
Ne laissez jamais s’installer le sentiment d’être trop chargé, trop occupé pour une tâche pendant que ceux qui sont sensés vous aider s’occupent de leur affaires personnelles. C’est le premier signe qui brise les chaînes de la confiance dans l’esprit du groupe.
4Forger son esprit de décision
La décision est toujours un choix compliqué puisqu’elle engendre l’abandon d’autres choix qui ne sont pas forcément désavantageux. Or, dans toute situation, ce que l’on attend en premier d’un chef c’est son aptitude à la décision. Cette aptitude se cultive par le sens du courage et de l’expérience cumulée du leader.
Pour prendre de bonnes décisions; cela relève de l’habitude en commençant par les petites choses de la vie au quotidien. Ensuite, le chef doit apprendre à ne pas s’isoler pour décider d’où la nécessité d’inspirer confiance envers ses collaborateurs.
5Faire de la prospective
Ce qui est intéressant dans la prospective, s’est qu’on la trouve pas couramment chez le type de leader institutionnel. Au lieu de s’entraîner à dégager une vision sur les points d’avenir, il se cache derrière le statut pour condamner les nouvelles idées par peur de se voir renverser.
Le bon leader et organique doit avoir un avis sur les perspectives d’avenir dans le domaine de ses responsabilités puisqu’il est sensé guider ses suiveurs dans la bonne direction tout en mesurant le poids des risques et comment y faire face.
Cette prospective se forge par l’envie de l’apprentissage de nouvelles méthodes et par la culture du renseignement. On ne peut pas trop viser si on n’a pas des pistes, de l’information sur les perspectives du changement et c’est là une partie du travail du chef.
6Se forger une éthique humaniste du commandement
Quel qu’en soit ce que vous allez confier comme tâche, les règles que vous allez élaborer; il est important de toujours se rappeler que ceux que vous dirigez restent des être humains. Il y’a une part d’erreur à prendre en compte et c’est ainsi que les relations s’améliorent puisque l’erreur reste humaine.
Il serait sans doute de l’exploitation que d’attendre d’un collaborateur, d’un partenaire d’offrir plus que ce qu’il ne peut donner. Mesurez donc le degré de complexité de ce que vous confiez aux autres et s’entraîner à diriger par l’exemple.
7La loyauté comme ingrédient de confiance
Les environnements dans lesquels il est facile de monter en puissance et de montrer rapidement son degré de leadership sont ceux auxquels on est intraitable en matière de loyauté. Cette loyauté se gagne par la confiance réciproque qui s’installe avec ses collaborateurs qu’il s’agisse dans le processus de prise de décision, et le fait d’aider chacun à se réaliser personnellement.
Pour finir cet article, il est important de rappeler que l’ensemble des techniques évoquées ont été tirées du livre« Mener les Hommes » de Daniel Hervouët que vous pouvez télécharger gratuitement ici.
Ce livre s’est inspiré de l’esprit commando ramener aux meilleures pratiques du leadership management puisque l’auteur est issu des forces spéciales Françaises et leur façon de monter dans la hiérarchie. Vous comprenez que le chef commando l’est parce qu’il a fait ses preuves et qu’il est apte à conduire ses troupes par une logique de leadership organique mérité.
En mettant ces techniques en pratique dans votre vie de tous les jours, les résultats ne vont pas tarder à être satisfaisants. Toutefois, il vous faut un minimum de sacrifice et d’effort personnel pour atteindre ce but.
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Résumons l’ensemble des points soulignés dans l’article dans ce schéma.